Rénovation de l’ancien lycée de Fleurier

Inaugurée en 1896, l’ancienne école d’horlogerie de Fleurier, qui nomme les rues Nord et Est du Bien-Fonds 996, a retrouver actuellement sa vocation initiale. Celle-ci avait été perdue une première fois en 1936 à la suite de la crise mondiale, puis en 1985 dû à la crise horlogère et faute d’effectifs. L’artère au Sud, nommée Av.Daniel-Jeanrichard, quant à elle, rend hommage au grand pionnier de l’industrie horlogère jurassienne.

L’ancien bâtiment a souffert des rénovations dans les années 70 détruisant une partie des façades en pierre naturelle pour y fixer une isolation en liège et un revêtement en panneaux de fibrociment. Des ouvertures de façade au Sud ont également été condamnées.

Cette rénovation particulière cherche une harmonie entre couleur, respect pour ce qui reste du bâtiment d’origine et adaptation aux temps modernes. Trois permis de construire ont été nécessaires pour la réalisation des travaux.

Coupe transversale

Coupe longitudinale

“Harmonie entre couleur et respect du bâtiment d’origine afin de l’adapter aux temps modernes.”

Afin d’alimenter les machines centenaires au niveau vacuum et électricité, le maître de l’ouvrage mandate le bureau Solive pour trouver une solution (invisible) au sol du rez-de-chaussée, alimentée depuis le sous-sol. Un magnifique parquet massif vient revêtir les gaines des installations accessibles ponctuellement par des boitiers au sol. L’emplacement est méticuleusement réfléchi et calculé pour que le résultat soit le plus discret possible.

L’alimentation d’air comprimé également depuis le sous-sol, les gaines électriques d’alimentation des machines, bureaux et agencements divers dans les plusieurs étages et salles ont également été l’objet d’étude et résolution.

La partie technique résolue laisse place au côté créatif attribué à la configuration des combles, refaits à neuf, où des wc/vestiaires, cafétéria et salles de réunions auront lieu.

Les nouvelles façades ont-elles aussi été objet d’une étude minutieuse pour trouver une harmonieuse répartition des revêtements en « Eternit » intégrant discrètement des panneaux photovoltaïques sur les façades Sud et Ouest.

“Harmonie entre couleur et respect du bâtiment d’origine afin de l’adapter aux temps modernes.”

Afin d’alimenter les machines centenaires au niveau vacuum et électricité, le maître de l’ouvrage mandate le bureau Solive pour trouver une solution (invisible) au sol du rez-de-chaussée, alimentée depuis le sous-sol. Un magnifique parquet massif vient revêtir les gaines des installations accessibles ponctuellement par des boitiers au sol. L’emplacement est méticuleusement réfléchi et calculé pour que le résultat soit le plus discret possible.

L’alimentation d’air comprimé également depuis le sous-sol, les gaines électriques d’alimentation des machines, bureaux et agencements divers dans les plusieurs étages et salles ont également été l’objet d’étude et résolution.

La partie technique résolue laisse place au côté créatif attribué à la configuration des combles, refaits à neuf, où des wc/vestiaires, cafétéria et salles de réunions auront lieu.

Les nouvelles façades ont-elles aussi été objet d’une étude minutieuse pour trouver une harmonieuse répartition des revêtements en « Eternit » intégrant discrètement des panneaux photovoltaïques sur les façades Sud et Ouest.

Rez-de-chaussée

1er étage

Combles

Élévation Ouest

Élévation Nord

Prochain projet